viernes, 4 de febrero de 2011

English Time

Our conception of the world is a set of models created by our minds with the intention of explaining the universe that surrounds us. In order to communicate, we have created conventional structures that assign symbols to these models and accordingly we developed the abstract thinking and then the rhetorical speech. These conventional structures that we often call languages allow us to perpetuate our models and are the framework of our thinking.
Throughout history, the work of philosophers, scientists and artists has been to create new models, to develop those which already existed and to integrate them to the imaginary using the language. Languages have been developed by different people, in different places at different times; therefore, they describe reality in different ways.

Using dictionaries of different languages that have been created in different moments of history can be a very good way to analyze the world picture of the people who wrote them, and so, to discern the world picture of those who spoke that language.
Taking for example a noun that represents one of the most important models, time.
If we look up the word “time” in the dictionary of the English language written by Samuel Johnson in 1755, we will find:

time n.S. [tima,Saxon ;tym,Erse]
1.The measure of duration .

This consideration of duration, as set out by certain periods, and marked by certain measures or epochs, is that, I think, which most properly we call time.

Locke (An essay concerning human understanding, 1690)

Dr. Samuel Johnson defines time as a measurable physic quantity but he neither talks about its nature nor about its characteristics. The paradigm of absolute time had not been broken yet, and time was a perception of human beings that can be measurable.

Traveling 250 years to the future, we find the definition of the noun time in the Oxford dictionary:

time[mass noun]

1.The indefinite continued progress of existence and events in the past, present, and future regarded as a whole:

travel through space and time

In this definition we find the progressive nature of time and its existence as a part of the universe instead of a propriety of it, it is seen a persistent place in which we travel each instant to the future.
If we compare the idea that was assigned to the word “time” in 1755 to the modern conception of it, we discover that humanity (or at least English people) changed of paradigm, from one where the time was a measure to another where it is a part of the universe.
Now, we are going to compare the English vision of time to the French vision. According to the dictionary of the French academy time is:

temps[subs.masculin]
1.Milieu indéfini et homogène dans lequel se situent les êtres et les choses et qui est c7aractérisé par sa double nature, à la fois continuité et succession.

In French, time is a continuous progressive and homogeneous environment where beings and things exist. This model of time is significantly different from the English one. In English time is seen as an independent part of the universe, and in French it is the environment that permeates it. This kind of differences in the ideas assigned to the same word in two different languages is one of the factors that mark the disparity in the thinking of people of different nations and times.

Languages are more than groups of signs of assigned sounds are meanings; languages carry history and culture. One example of this is the way that English has French influence; there was a time when French was the official language in the English court. On the one hand, his was the language of the aristocracy, the ones that were rich and ate properly. On the other hand, there were the lower classes, the farmers who took care of the aristocracy’s cattle without getting a taste of it. This is why some words for cooked meat, such as pork or beef have French origins and words like pig and cow have Dutch and English origins; people worked in English but ate and enjoyed in French. Time has carried history and ideas into language. When we learn one language, not only do we learn how to communicate with the people that speak it, but we also learn to think in that language, to use this new framework to generate new ideas and to perceive the world in a different way; and this is where the pleasure of learning languages lies.


domingo, 30 de enero de 2011

Le capitalisme n'est pas encore arrivé

Selon l’IDH (Indice de développement humain de l’ONU) il existe 43 pays avec un «Développement humain très élevé» parmi lesquels on retrouve la totalité des pays d’Europe occidentale, au contraire la totalité des pays d’Amérique Latine se trouvent dans les niveaux « élevé » et « moyen » .Pourquoi certains pays sont développés pendant qu’autres ne le sont pas est une question aussi vaste qu’intéressante, pour cette raison on ne va donner que l’allure de la réponse dans ce texte.
On dit que l’humanité a connu le progrès économique à l’arrivé du capitalisme en Europe vers le XVIIème siècle, le passage de mode de production de féodal à capitaliste est très complexe et même aujourd’hui on n’arrive pas à le décrire complètement, malgré ces difficultés on peut l’approximer très grossièrement à une réduction du pouvoir de l’église , la création d’une nouvelle catégorie sociale : la bourgeoisie , le développent des villes et le déplacement de l’imaginaire vers la science.

Comme résultat de ces changements, il est apparu une nouvelle forme de gouvernement qui n’est plus centrée sur le roi mais sur le parlement. Finalement, la nouvelle forme d'enrichissement dépendait plutôt des connaissances et de la technologie que de la terre. Malheureusement, cette transition n’a pas été expérimentée en Amérique Latine où, dans le meilleur des cas, le pouvoir de l'Église a été préservé jusqu’à la moitié du XVIIIème siècle et où l'on n’a pas encore réussi à déplacer l’imaginaire vers la science. Pour illustrer ce dernier point, il suffit de regarder la dernière enquête sur la perception des sciences au Mexique où l’on s’aperçoit que 57,5% de la population croit que les chercheurs peuvent être dangereux à cause de leurs connaissances, 50% assure que le développement technologique amène à une société «artificielle et déshumanisée» et 83,6% affirment que les mexicains font plus confiance à la religion qu’à la science.

La combinaison du déclin de l’église et du développement de la pensée scientifique a provoqué la substitution des élites en Europe. Ainsi, les nouveaux producteurs sont devenus les propriétaires de la terre et une nouvelle forme de production basée sur la valeur ajoutée des produits, et donc sur la science et la technologie, est née. Ce processus n’a pas été uniforme.

En Europe, les Pays-Bas ainsi que la France ont pris l’avantage. En revanche, certains pays se sont transformés très lentement. En Espagne, bien que les reformes borboniques aient eu comme vocation d'accélérer cette transformation, elles n’ont pas été suffisantes. Le changement ne s’est pas produit dans ses colonies, ce qui freina le développement de l'Amérique Latine. Les élites n’ont pas été remplacées, les propriétaires ont perduré et les activités économiques ont continué d'être centrées sur les ressources naturelles au lieu d’être centrées sur la valeur ajoutée.
Pendant le dernier siècle plusieurs expériences et mouvements (de l’extrême droite au Chili au socialisme à Cuba) ont eu lieu en Amérique Latine. Ils ont eu comme objectif le succès économique, certains ont même donné quelques fruits, notamment au Chili et au Brésil, mais le reste de l’Amérique Latine souffre encore des conséquences de ne pas avoir eu ce changement d’imaginaire et des élites.
En conclusion, l’Amérique Latine ne peut pas accéder au succès économique car pratiquement toutes ses nations n’ont pas encore des sociétés modernes. Les classes moyennes sont le produit des syndicats et d'anciennes structures de pouvoir. Elles ne produisent pas des biens issus de leurs technologies mais se contentent de vendre des matières premières et de revendre des produits finis. Il y a des entrepreneurs sans initiative qui ont construit leur fortune grâce aux influences qu'ils ont sur l’état et non pas pour la valeur ajoutée de leurs produits.
En conséquence, le changement le plus difficile pour que l’Amérique Latine devienne une puissance économique n’est ni économique, ni politique mais social: il faut changer de mentalité en distinguant la vision scientifique de la religieuse, mystique et traditionnelle ainsi que migrer vers une société méritocratique.

sábado, 9 de octubre de 2010

Dalí, Airbus et le Mexique

« J'aime pas le Mexique, je n'aime pas les choses qui sont plus surréalistes que moi » cette phrase a été dite par Salvador Dalí il y a 30 ans, je suis mexicain, j'ai vécu immergé dans ce surréalisme pendant 17 ans et je crois que Dalí avait complètement raison, nous sommes plus surréalistes que lui. Au Mexique on n'a qu'une semaine de congés par an, on travaille des journées de huit heures du lundi au samedi pourtant nous avons une indice de productivité par employé bien plus inferieure que celle de la France où il y a au moins 5 semaines de congés par an et on ne travaille que 40 heures par semaine, j'avais réfléchi à ce « paradoxe » dès que je suis arrivé en France et j'ai trouvé la solution pendant mon stage.
« Ils font comme s'ils me payaient je fais comme si je travaillais» est une phrase que l'on entend très couramment au Mexique où les salaires sont bien plus inferieurs (SMIC  150 EUR) qu'en France, cette phrase explique en partie le paradoxe ; si on ne paie pas suffisamment d'argent aux employés, ils ne seront pas motivés pour travailler et alors ils ne travailleront pas, en plus, bien que les horaires soient très longs en réalité les employés ne travaillent qu'un nombre réduit d'heures car ils sont fatigués des journées précédentes, finalement on peut ajouter tous les problèmes qui sont dus à la frustration des employés pour ne pas avoir suffisamment d'argent et pour ne pas être avec leur famille suffisamment de temps.
Dans tous les cas de figure on trouve une émulation surréaliste soit de la partie de l'employeur soit de la partie de l'employé qui fait qu'à la fin, on travaille vraiment dans le meilleur des cas la même quantité de temps que si nos horaires de travail étaient du lundi au vendredi et que si on avait 5 semaines de congés mais avec une différence très importante, on finit frustrés.
Malheureusement, toute cette situation crée un cercle vicieux ; le travail infructueux des employés ne génère pas suffisamment d'argent pour l'employeur et alors l'employeur ne peut pas ni augmenter les salaires ni employer autres personnes pour alléger la charge de travail des employés. La frustration continue et on recommence.
Comment résoudre ce problème ? , en théorie c'est facile, il faut seulement utiliser la logique. Pour que quelque chose soit meilleur il faut que chacune de ses parties soient un peu meilleure qu'avant, alors, en extrapolant notre phrase à une société il faudrait juste que chacun des intégrants de la société fasse un peu plus de ce qu'il fait d'habitude ou de ce qu'on lui demande, malheureusement ce n'est pas toujours facile.
Il existe un principe physique fondamental qui s'appelle « Le principe de moindre action » et il nous dit que de tous les chemins qu'une particule peut suivre pour aller d'un point vers un autre elle suit celui où la quantité « action » est minimale. Bien que la quantité physique « action » ne soit pas exactement ce que nous comprenons comme « action » on peut faire une analogie et dire qu'il existe deux types de personnes celles qui suivent le principe et celles qui ne le suivent pas. On pose une nouvelle quantité « δS » qu'on définit comme l'action qu'une personne fait moins la moindre action qu'elle aurait pu faire pour réaliser une tache définie. Finalement on pose S comme la somme de chacune des δS dans une société. Alors on a :

La fonction « S » représente alors la somme des actions de plus faites par initiative propre des personnes á Airbus j'ai pu étudier les variations de S et j'en conclu que : Plus les personnes sont heureuses et satisfaites de leurs vies, plus S est grande, alors le pays se développe et on recommence. C'est que je pense être le cercle vertueux des pays développés.

Pourtant ça n'a pas toujours été le cas, le cercle a commencé quelque part, c'est-à-dire il y a eu un temps où les gens des pays qu'aujourd'hui on considère développés on décide de travailler et de construire un futur différent pour eux et pour sa descendance, ils ont trouvé la motivation dans un futur prospère, ils ont décidé d'agir et de ne pas simuler. Tant que cette décision n'est pas prise par les sociétés des pays qui ne sont pas développés, comme mon pays, ils ne se développeront pas.

viernes, 16 de julio de 2010

Decimos invierno pero es primavera

Si usted es optimista no continúe leyendo, solo va a terminar odiando a este autor que desborda pesimismo.

Escucho en la radio que la temperatura es de 25 grados y el locutor osa invitarnos a disfrutar el "invierno".

Un compañero me comenta que tendrá que estudiar para presentar un concurso "No te preocupes, ya conseguí el examen", me informa enseguida. Llega a mi mente la frase "Ellos hacen como que me pagan; yo hago como que trabajo". Dalí tiene razón: somos más surrealistas que él.

Hoy no voy generalizar, hoy solo quiero relatarles una experiencia personal que creo vale la pena dar a conocer. Hace un año tuve la oportunidad de ser seleccionado junto con otros once compañeros por parte del IPN para realizar los estudios correspondientes a los primeros dos años universitarios dentro de una institución francesa. Mis once compañeros y yo formábamos parte de la décima generación de este intercambio y llenos de esperanza partimos hacia lo desconocido.

Si bien sabemos que la educación en México es un desastre, existen algunas instituciones como el Politécnico Nacional de las que no dudamos en calidad y en las que ponemos toda nuestra confianza y deseos de superación, por esta razón todos partimos convencidos de que siendo alumnos de excelencia dentro de una institución de esa índole, con esfuerzo y trabajo lograríamos salir adelante. Mentira.

Al empezar a cursar nuestros estudios, ya en el viejo continente, nos percatamos que no teníamos ni siquiera las nociones de ciertos temas que habían sido abordados con profundidad en los liceos de ese país. Debido a estas razones muchos de mis compañeros poco a poco se fueron rezagando, viendo cómo la educación que habían recibido y en la que habían sido catalogados como "excelentes" era, en el mejor de los casos, insuficiente. En esta dinámica transcurrió todo el año escolar, en el continuo descubrimiento de las fallas gigantescas en nuestra educación. Ante esto muchos optaron por la mediocridad y se dieron por vencidos, otros lucharon hasta el final pero las bases mal cimentadas no pudieron sostener el nuevo edificio construido; por último hubo algunos que reconociendo las deficiencias en nuestra enseñanza, decidimos re-aprender y así construir los cimientos para posteriormente construir sobre ellos. El resultado: Sólo los últimos aprobaron el año. ¿Cuántos? 4. ¿El resto? fueron expulsados de la universidad francesa por su bajo rendimiento escolar. Sus familias los recibieron con aplausos en el Aeropuerto Internacional de la Ciudad de México.

El CECyT 9 del IPN es la escuela mejor clasificada por la prueba ENLACE del nivel medio superior a nivel nacional; a esta institución pertenecieron seis de los doce alumnos que conformaban el intercambio académico. De estos seis tan solo cuatro evitaron ser expulsados por su bajo rendimiento escolar. Es decir, en estadísticas duras, tenemos que de los doce alumnos de excelencia seleccionados por el IPN el 75% fue expulsado, y de la mejor escuela del nivel medio superior el 34%. ¿Dónde estamos si alumnos de excelencia de la mejor escuela del país fracasan por su bajo rendimiento escolar en el extranjero? ¿Qué clase de educación superior estamos impartiendo? Estamos solo creando analfabetas con título profesional, esto más que un fracaso educativo es un FRAUDE.

Esperen, ¿Fraude?. No, así vivimos todo: solo es surrealismo educativo.



sábado, 5 de junio de 2010

¡Critiquemos la educación superior!

Hablar en México sobre la calidad de la educación y de la investigación que son llevadas a cabo tanto en la Universidad Nacional Autónoma de México como en el Politécnico Nacional es un tabú, pocos hablan de ello, y quienes lo hacen de manera juiciosa son automáticamente tachados de ignorantes con argumentos antiquísimos nacidos de un patriotismo mal entendido que busca proteger símbolos inocuos en lugar de versar por el progreso.

¿Por qué defendemos acríticamente estas instituciones?
En la sociedad mexicana las clases medias tienen, en lo general, dos maneras de asegurar la continuidad dentro de esta clase de las futuras generaciones. Por una parte se encuentran las clases medias nacidas por los privilegios otorgados por el régimen revolucionario a través de los sindicatos y otros nichos del poder, estas clases aseguran la continuidad a través de una red de influencias que perpetúan el statu quo del sistema, y por ende el futuro de las nuevas generaciones. Del otro lado de la moneda se encuentran las clases medias que han llegado ahí gracias a su preparación y trabajo, aquellas que solemos llamar "meritocráticas" , éstas, para asegurar el futuro de las nuevas generaciones utilizan la educación; esta clase media invierte en la educación de sus hijos antes de gastar en el coche del año o en una ida al parque de diversiones, porque saben, que ésta es lo único que pueden dar a sus hijos para enfrentar el futuro y superarse ,por ende la educación y en particular la educación superior es considerada por una gran parte de la población el único medio para la superación y preservación de su estado para las futuras generaciones y cuando se cuestiona la calidad de este medio , no se crítica la calidad de una institución sino , la calidad del único medio para el el progreso que creíamos infalible, y como en toda perdida , pasamos de la negación a la ira. Inmediatamente después la pólitica utiliza esto y lo capitaliza en un discurso patriótico sin argumentos de fondo.

Por encima de nuestros miedos debemos tener una actitud crítica sobre estas instituciones y exigirles resultados, la UNAM y el IPN realizan la mayor parte de la investigación llevada a cabo en el país , pero ¿Es esta investigación de buena calidad?, a falta de organismos exteriores que lleven a cabo una evaluación oficial en este ámbito podemos utilizar otros indicadores. El primero ,el ranking mundial de estas instituciones , en promedio la UNAM se encuentra entre las mejores 200 universidades del mundo y el IPN entre las mejores 700, esto inexplicablemente , es presentado como un orgullo , cosa que no entiendo, me explico:
En la mayoría de listados de universidades utilizan como parámetro principal la calidad de las publicaciones de las universidades, por tanto, aquella que genera más y mejor investigación es la mejor posicionada, lo que nunca tenemos en cuenta es el tamaño de las universidades que están listadas, es increíble que existan universidades con una pequeñísima fracción de los investigadores y alumnos de la UNAM (y por lo tanto con mucho menor presupuesto), que se encuentran 100 lugares mejor que la UNAM con miles de estudiantes e investigadores, entonces podemos preguntarnos ¿Es lo mismo hacer galletas de chapulín que crear una nueva bacteria?¿Es bien ejercido el presupuesto? , ¿Debemos entregar presupuesto sin evaluar resultados?, mi respuesta, no. Sobre la calidad de la educación superior no me atrevo a hablar porque no tengo datos , simplemente no tenemos cifras concretas en este ámbito pero pregúntese ¿Qué tan bien están preparados sus compañeros de trabajo?¿Cuántos ingenieros conoce que se dediquen a ser ingenieros, a crear nuevas tecnologías y no a ser administrativos?¿Cuantos científicos con investigación relevante conoce?¿Cuantos profesionistas competentes laborando en su ámbito conoce?¿Cómo se desempeñan nuestros estudiantes en el exterior?

Exijamos cuentas y resultados , dejemos de lado tanto sentimientos como discursos seudopatrióticos sin sentido.

sábado, 29 de mayo de 2010

Aprender sin pensar es inútil

Aprender sin pensar es inútil. Pensar sin aprender, peligroso

Confucio

La enseñanza de las matemáticas en las escuelas de toda Europa desde antaño se ha sustentado en el método axiomático-deductivo griego esto ha llevado a diversos investigadores en los últimos años a analizar si esta es la forma correcta de enseñar matemáticas ; los resultados que arrojan sus investigaciones muestran la frecuencia con la que son usados los útiles matemáticos enseñados durante la formación de un profesional en su ámbito laboral , estas investigaciones concluyen que los útiles enseñados son prácticamente desdeñados y solo son realmente utilizadas las nociones matemáticas de base incluso en ciencias tan estrictas como la ingeniería, tales resultados nos inducen a pensar sobre la existencia de la necesidad de la enseñanza de las matemáticas a través del método axiomático-deductivo . ¿Debemos enseñar las matemáticas de ésta forma? o ¿Debemos enseñar solo las matemáticas que serán utilizadas directamente?

El tratar a las matemáticas como una simple herramienta y apreciarla por su aplicación directa es tan absurdo como tratar al lenguaje como un simple código y juzgarlo por su vocabulario.

Las matemáticas mucho más que una herramienta es un lenguaje. Nuestra lengua natural nos permite comunicarnos pero esta función no es para nada única éste nos proporciona también un método para elaborar un razonamiento complejo: el discurso retórico sería imposible sin él. Al igual que la lengua las matemáticas nos proporcionan un medio para elaborar razonamientos y una estructura lógica para llevarlos a buen fin es ahí donde radica su vital importancia, esto ha sido parte del conocimiento desde la antigüedad recordemos rápidamente a Aristóteles y su liceo en cuya entrada estaba escrita la consigna "No se acepta a quien no sepa geometría". Todas estas razones nos invitan a apreciar la enseñanza de las matemáticas a través del método axiomático-deductivo no por su aplicación práctica si no por su aportación a la maduración que genera en la lógica y el razonamiento de la mente humana que más tarde se traducirán en eficacia en la toma de decisiones y por ende en productividad.

La enseñanza de las matemáticas debe ser desde las etapas tempranas del aprendizaje de una manera tal que éstas sean profundamente comprendidas y la lógica cultivada para que más tarde los útiles que serán utilizados sean sencillas aplicaciones de la teoría previamente aprendida , para que cada decisión tomada en la vida diaria sea tomada a través de un pensamiento bien estructurado sostenido por la lógica .No debemos enseñar las matemáticas como una herramienta si no como una medio para pensar.

Las matemáticas en el sistema educativo mexicano son enseñadas con un enfoque meramente utilitario y sin tomar en cuenta el respaldo teórico que estas poseen esto ha conllevado diversas consecuencias como lo revelan los resultados en las pruebas ejecutadas por la OCDE y el comportamiento de la sociedad mexicana.

Los resultados que brinda la OCDE para México en 2007 presentan que el 50% de los jóvenes de 15 años explorados no son capaces de resolver problemas elementales de matemáticas y tan solo 0.4% de la muestra se ubica en niveles elevados en la materia , si bien estos resultados obedecen a diversas razones político-sociales también obedecen a razones pedagógicas ya que sin la lógica matemática bien desarrollada la enseñanza de sus útiles más que banal es inútil .

¿Por qué las matemáticas son enseñadas como una herramienta en México?

El proceso de adoctrinamiento que fue llevado a cabo durante el periodo en el que el partido revolucionario institucional tuvo la hegemonía política no tenía como fin generar ciudadanos críticos capaces de razonar, por el contrario, les implantaba un nacionalismo sin sentido, que aún hoy podemos encontrar evaluando la proporción de horas de enseñanza entre las asignaturas relativas a la historia de México y ciencias que se imparten en la educación básica. Además de la razon anteriormente expuesta, encontramos el desarrollo de México como nación petrolera en donde no hemos dado prioridad a la productividad interna sino a la explotación de una riqueza no renovable, por lo tanto México no ha necesitado de personal con la instrucción necesaria para crear e innovar en las últimas décadas esta es la justificación de los planes educativos por demás utilitarios que observamos hoy en día.

Más que simplemente exponer las ventajas del método axiomático-deductivo sobre el pragmático en la enseñanza de las matemáticas, mostrar las consecuencias que éste segundo ha provocado en México y la justificación de su uso en México he querido escribir este texto con el fin de resaltar las consecuencias de utilizar cada uno de estos métodos de enseñanza y un ejemplo de cómo a través de este medio el gobierno mexicano hace parecer que cumple con su discurso de libre expresión al no decirle a sus ciudadanos que pensar sin embargo, los enseña a pensar de una manera completamente deficiente. No encuentro mejor aliento al desarrollo y progreso de un país que brindar a sus ciudadanos una mente ordenada y libre labrada por las ciencias puras y es solo por medio de esta ideología que veo en el futuro de México un país próspero y desarrollado.

MSSZ

domingo, 14 de marzo de 2010

La mecánica política y el MRU Mexicano

Hace ya más de tres siglos en Inglaterra la humanidad descubrió algo que aún no terminamos de entender en México y en otras democracias: Para lograr un cambio en la trayectoria de un ente hace falta aplicar algo que decidimos llamar fuerza, y descubrimos algo aún más maravilloso, esta fuerza es proporcional a la velocidad de cambio de la trayectoria, es decir entre más grande es esta fuerza más rápido sucede el cambio, por último encontramos otra propiedad , si sumamos en cada dirección todas las fuerzas que actúan sobre un ente obtenemos la fuerza total .

La hipótesis
En 1997 México recién entraba al pluripartidismo, creíamos en ese entonces que la transición democrática traería la prosperidad y la transformación de México que todos esperábamos, pero no contamos con un corolario de toda transición de democrática: La división del poder.
Desde ese entonces el aparato del estado mexicano ha sido incapaz de gestar otro gran cambio, casi nadie ha tenido siquiera el poder suficiente para modificar el camino de México y aquel que lo tuvo tenía una ineptitud política más grande que el poder que el pueblo le había otorgado en las urnas.
En este momento el poder esta tan fragmentado que es imposible que un solo agente genere cambios, esto no significa de ninguna manera que éstos sean imposibles de generar, llamemos "poder" o "fuerza política" a eso que llamamos "fuerza" en un principio y "gobernabilidad" a la velocidad de cambio de la trayectoria y encontraremos el problema y la solución.


El problema
En México no existe un proyecto de nación de consenso ni intenciones de crearlo, cada uno de los agentes políticos con alguna dosis de poder quiere llevar a México a donde le sea conveniente: el PRI quiere dejarlo todo como ésta por qué está convencido que regresa en 2012 al poder y lo quiere todo como lo dejo, el PAN vive secuestrado por el miedo a perder los pinos tres años antes de cada elección presidencial , el PRD no es capaz de tener una opinión más o menos generalizada frente a ningún tema de importancia nacional y la iniciativa privada se mueve según sus intereses económicos.
Frente a esta fotografía catastrófica es evidente que ninguna de las fuerzas políticas coincide en dirección con otra y esto, retomando nuestra analogía, provoca que México siga en la misma trayectoria.
El ganador: El PRI.

La solución
Ante este problema encontramos dos soluciones, la primera un tanto antidemocrática, que exista alguien con la fuerza política suficiente como para generar el cambio que México necesita en un tiempo muy corto, y la segúnda los convenios.
"Los convenios crean gobernabilidad" de acuerdo a nuestra hipótesis Paredes y Gomez Mont tienen razón, y es real, la única manera de generar gobernabilidad es a través de acuerdos o convenios que pongan a las fuerzas políticas en aproximadamente la misma dirección y entonces éstas se sumen aritméticamente, ergo la rapidez de la transformación de México será mayor.
Empero, si estos acuerdos se rompen la confianza entre las partes desaparece y es imposible generar las coincidencias necesarias para gestar el cambio, es por esto que las fuerzas políticas tienen la obligación de crear acuerdos, respetarlos y a través de ellos llevar a México al lugar que requiere.
Como he dicho anteriormente en este momento en la clase política no existe voluntad para crear cambios, esto no quiere decir que no esté pensando a futuro, de acuerdo al PRI esto se solucionara en 2012 vía la primera opción, el poder concentrado en un solo agente: Enrique Peña Nieto, y así México involucionará democráticamente pero atestiguara cambios , México venderá su democracia por cambios debido a la falta de políticos responsables , capaces y profesionales, ¿Existe alguna otra opción para gestar el cambio?¿Es esta una opción para gestarlo?¿Se puede gestar un cambio en la dirección del país sin un cambio social?

Les leo.
MSSZ